L’ayatollah Khamenei a indiqué: «Ce religieux opprimé n’encourageait pas les gens au mouvement armé, ni menait des activités clandestines, mais critiquait ouvertement, commandant le bien et interdisant le mal, ce qui venait de son attachement à la religion.»
Le Guide Suprême de la révolution islamique a qualifié le martyre du cheikh Nimr et le versement de son sang d’une «erreur politique» comme par le régime saoudien, ajoutant: «Un sang versé injustement conduira à l’instabilité des politiciens au pouvoir en Arabie.»
Critiquant vivement le mutisme observé par les prétendus protecteurs de la liberté, de la démocratie et des droits de l’homme qui soutiennent le régime saoudien dans ses crimes, l’ayatollah Khamenei a précisé: «Le monde musulman et l’opinion publique mondiale doivent agir face à ce crime.»