« Cela a commencé avec des attentats dans différents pays qui ont contribué à l’instabilité. Les fondamentalistes (wahhabites, salafites ou extrémistes) réclament un retour au Coran et aux hadiths prophétiques, rejettent toutes les écoles islamiques, et considèrent le djihad armé comme un devoir et la base de l’islam », indique cet article.
« Avec la montée des attentats, poursuit-il et la prise de conscience du danger, le président kazakh, Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev, déclara qu’il fallait craindre les athées tout autant que les extrémistes religieux qui ont semé le désordre et créé des conflits entre les musulmans. »
« C’est ainsi que le Tadjikistan et la Russie ont interdit l’enseignement du wahhabisme et que les écoles hanafites ont été multipliées au Kazakhstan. Des cours hebdomadaires sont donnés actuellement dans les écoles et les universités, pour donner aux jeunes une vision exacte de l’islam et de la religion », précise cet article.