Cette campagne est lancée après une décision de ce réseau social de fermer des dizaines de pages de partisans du peuple palestinien pour « non respect des règles de Facebook ».
Lors du lancement du hashtag sur Twitter « #FBfightsPalestine » pour manifester leur mécontentement contre les mesures prises par Facebook, les organisateurs de cette campagne ont déclaré qu’ils avaient l’intention de porter plainte contre ce réseau « pour atteintes à la liberté d’expression », et ont demandé aux responsable de Facebook, des explications.