Le pays ne reconnaît pas l’islam en tant que religion et ne compte que quelques milliers d’habitants musulmans. L’islam ne doit pas être enseigné dans les écoles et les 5 000 musulmans, principalement européens, qui résident dans le pays ne sont pas officiellement reconnus. Ils ne représentent que 0,1% de la population.
En 2007, les politiciens ont modifié les lois de sorte que l’État doit reconnaître 20 000 signatures de membres. En 2017, ils ont plus que doublé le nombre de signatures nécessaires.
Ne pas être officiellement reconnu pose des difficultés majeures aux musulmans. Entre autres choses, ils ne sont pas autorisés à avoir des chefs religieux officiels, à célébrer des mariages musulmans ou à recevoir des contributions financières de l’État, droits que possèdent 18 autres religions reconnues.
dzvid