Le Hamas a déclaré que le régime d'occupation israélien, à la base de Sadi Timan, faisait subir des tortures systématiques, conformes à la politique officielle du cabinet criminel de Netanyahu et de son ministre de la sécurité intérieure, Itamar Ben Goyer, à des milliers de personnes enlevées dans la bande de Gaza.
Ce mouvement a souligné qu'une intervention internationale immédiate était nécessaire pour mettre fin à ces crimes, et les ajouter au dossier des crimes de guerre et de génocide du régime sioniste, devant la Cour internationale de Justice et la Cour pénale internationale.
D'un autre côté, Abdullah al-Zaghari, président de l’association des prisonniers palestiniens, a déclaré qu'un génocide silencieux se déroulait dans les prisons israéliennes.
Dans une interview accordée à Al Jazeera, il a ajouté que tous les prisonniers qui ont quitté le camp de Sadi Timan présentaient des signes évidents de torture et d'abus physiques. Al-Zaghari a souligné qu'aucune organisation internationale n'avait jusqu’à présent, ouvert une enquête sérieuse sur les tortures perpétrées par les forces d'occupation sionistes.
Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général des Nations Unies, a également souligné la responsabilité des centres militaires israéliens dans la torture des prisonniers palestiniens.