
Dans un communiqué rendu public à l’approche de l’année 2026, l’instance religieuse explique que le passage à une nouvelle année constitue une opportunité de reconnaissance des bienfaits divins, invitant à la gratitude et à l’espoir. Elle s’appuie notamment sur des versets coraniques appelant à la joie face aux grâces accordées par Dieu.
Concernant les non-musulmans, la Commission souligne que la félicitation du Nouvel An ne relève pas du domaine de la croyance, mais s’inscrit dans le cadre des relations sociales et humaines, fondées sur la bienveillance, l’équité et le respect mutuel.
Selon la Commission, ces gestes contribuent à préserver la cohésion sociale, à renforcer le vivre-ensemble et à promouvoir la paix communautaire, en conformité avec les objectifs de la charia. Cette position rejoint celle de nombreux savants contemporains, notamment au sein d’Al-Azhar.
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