Quand les musulmans de Gaza soutiennent les musulmans de Birmanie
Article(IQNA)- Le silence des organisations de défense des droits de l'homme est aussi significatif surtout dans certains pays islamique visiblement plus préoccupés par la chute de Bachar al Assad et le contrôle de la Syrie par les groupes salafistes extrémistes qui permettront l'entrée des sionistes dans ce pays.
L'Arabie saoudite, la Turquie et d'autres pays islamiques de la région qui ont fait tant de bruit au sujet de la Syrie, ont choisi le silence face au massacre des musulmans de Birmanie.
Par contre, les habitants opprimés de la Bande de Gaza se sont réunis devant les bureaux des Nations Unies, pour manifester contre l'oppression imposée aux musulmans de Rohingya, mettant le feu aux drapeaux des Etats-Unis et de Birmanie, et aux photos du président birman, Thein Sein.
La République islamique d'Iran est le seul pays à avoir dénoncé officiellement le massacre des musulmans de ce pays et à avoir demandé au gouvernement l'arrêt de ces actes inhumains. Des ONG iraniennes dans des messages séparés, ont annoncé leur soutien aux musulmans de Birmanie mais des actions internationales sont nécessaires pour arrêter les bouddhistes extrémistes de la région de Rakhaing.
Le silence des organisations de défense des droits de l'homme est aussi significatif surtout dans certains pays islamique visiblement plus préoccupés par la chute de Bachar al Assad et le contrôle de la Syrie par les groupes salafistes extrémistes qui permettront l'entrée des sionistes dans ce pays.
Les manifestations aux Etats-Unis, au Pays-Bas, en Indonésie et en Thaïlande, sont le signe de la gravité de la situation. Mais les manifestations des musulmans de Gaza opprimés depuis des années par le régime des occupants sionistes, et victimes d'un blocus illégal, montrent bien qu'ils ne sont pas fatigués de lutter et qu'ils sont aussi prêts à lutter pour les autres musulmans dans le monde.
Les groupes bouddhistes extrémistes responsables de ces attaques et de ce génocide, avec l'aide du gouvernement tuent les musulmans et le Président qui les considère comme des immigrants illégaux qui doivent être expulsés ou parqués dans des camps de réfugiés, n'a pas donné l'autorisation aux équipes d'aides internationales et aux médias d'entrer dans la région d'Arakan. Aung San Suu Kyi, secrétaire générale de la Ligue nationale pour la démocratie (LND), est restée elle aussi, silencieuse face à ces crimes.
Les musulmans pour échapper à ces attaques se sont réfugiés dans la région frontalière du Bangladesh et ont besoin de produits alimentaires et de soins. Plus de 20 villages et 1600 habitations ont été mis à feu par les groupes extrémistes bouddhistes et des centaines de musulmans ont été tués. Certains rapports font état de destruction de mosquées et d'exemplaires du Coran dans cette région.
Ces évènements non seulement se déroulent dans le plus grand silence médiatique et l'indifférence de certains dirigeants de pays islamiques, mais aussi avec le soutien de la police et de l'armée birmanes aux groupes extrémistes bouddhistes.
Ces violences sont apparues après de nombreuses conversions de bouddhistes à l'islam mal accueillies par le gouvernement et les bouddhistes extrémistes.
Si les messages de condamnation de l'Association de coopération islamique et d'autres ONG sont nécessaires, elles ne suffisent pas si les pays islamiques influents restent inertes et indifférents à ce nouvel holocauste.
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Par contre, les habitants opprimés de la Bande de Gaza se sont réunis devant les bureaux des Nations Unies, pour manifester contre l'oppression imposée aux musulmans de Rohingya, mettant le feu aux drapeaux des Etats-Unis et de Birmanie, et aux photos du président birman, Thein Sein.
La République islamique d'Iran est le seul pays à avoir dénoncé officiellement le massacre des musulmans de ce pays et à avoir demandé au gouvernement l'arrêt de ces actes inhumains. Des ONG iraniennes dans des messages séparés, ont annoncé leur soutien aux musulmans de Birmanie mais des actions internationales sont nécessaires pour arrêter les bouddhistes extrémistes de la région de Rakhaing.
Le silence des organisations de défense des droits de l'homme est aussi significatif surtout dans certains pays islamique visiblement plus préoccupés par la chute de Bachar al Assad et le contrôle de la Syrie par les groupes salafistes extrémistes qui permettront l'entrée des sionistes dans ce pays.
Les manifestations aux Etats-Unis, au Pays-Bas, en Indonésie et en Thaïlande, sont le signe de la gravité de la situation. Mais les manifestations des musulmans de Gaza opprimés depuis des années par le régime des occupants sionistes, et victimes d'un blocus illégal, montrent bien qu'ils ne sont pas fatigués de lutter et qu'ils sont aussi prêts à lutter pour les autres musulmans dans le monde.
Les groupes bouddhistes extrémistes responsables de ces attaques et de ce génocide, avec l'aide du gouvernement tuent les musulmans et le Président qui les considère comme des immigrants illégaux qui doivent être expulsés ou parqués dans des camps de réfugiés, n'a pas donné l'autorisation aux équipes d'aides internationales et aux médias d'entrer dans la région d'Arakan. Aung San Suu Kyi, secrétaire générale de la Ligue nationale pour la démocratie (LND), est restée elle aussi, silencieuse face à ces crimes.
Les musulmans pour échapper à ces attaques se sont réfugiés dans la région frontalière du Bangladesh et ont besoin de produits alimentaires et de soins. Plus de 20 villages et 1600 habitations ont été mis à feu par les groupes extrémistes bouddhistes et des centaines de musulmans ont été tués. Certains rapports font état de destruction de mosquées et d'exemplaires du Coran dans cette région.
Ces évènements non seulement se déroulent dans le plus grand silence médiatique et l'indifférence de certains dirigeants de pays islamiques, mais aussi avec le soutien de la police et de l'armée birmanes aux groupes extrémistes bouddhistes.
Ces violences sont apparues après de nombreuses conversions de bouddhistes à l'islam mal accueillies par le gouvernement et les bouddhistes extrémistes.
Si les messages de condamnation de l'Association de coopération islamique et d'autres ONG sont nécessaires, elles ne suffisent pas si les pays islamiques influents restent inertes et indifférents à ce nouvel holocauste.
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