La nécessité de développer des activités culturelles pour présenter l'école de Soleimani
Cheikh Ghasem Mohammadaf, responsable de l’Assemblée des Ahl-ul-bayt (as) en Géorgie, a souligné la nécessité de présenter davantage la personnalité du martyr Soleimani aux jeunes musulmans de la région et du monde, et a déclaré : « Les Géorgiens non musulmans estiment si Hadj Qasim n'avait pas combattu les groupes takfiris en Irak et en Syrie, les terroristes auraient probablement atteint la Géorgie. En plus du travail médiatique, davantage de livres devraient être publiés dans différents langues, sur la personnalité et la vie de ce martyr.
Lors du premier anniversaire de son martyre, les religieux musulmans, les représentants des institutions en Russie et même des frères sunnites du Parlement russe étaient présents. Après l'effondrement de l'Union soviétique, les gens se sont tournés vers l'islam et les Ahl-ul-Bayt (as), et l’Assemblée mondiale des Ahl-ul-Bayt (as) a connu un grand succès.
La majorité de ses membres sont des adolescents et des jeunes, des étudiants et des immigrés. Nous avons récemment organisé un cours sur « La vie d’Hazrat Zahra (sa) », et des cours d'informatique, de coran, d'anglais et de géorgien. L'une de nos activités est la lutte idéologique contre les takfiris et les courants radicaux, pour cela, nous organisons des pèlerinages en Iran, en Irak et en Azerbaïdjan.
Nous organisons également des compétitions coraniques dont la plus récente est la compétition de mémorisation coranique, tenue il y a trois mois en Géorgie, et celle des diplômés de l'Université Al-Mustafa (psl) en Iran ou des centres islamiques géorgiens. Depuis 1995, des centres islamiques ont été créés en Géorgie, avec le soutien de l'Iran, et Dieu merci, le résultat de cette coopération entre l'Iran et la Géorgie, a été un succès.
Les universités de Géorgie, en particulier de Tbilissi, sont un moyen de renforcer les relations entre les deux pays. J'ai moi-même vu et compris à quel point les Géorgiens s'intéressent à la langue persane et veulent se lancer dans des études d'iranologie. La relation entre l'Iran et la Géorgie est une relation historique. Il existe de nombreux manuscrits en persan et parfois en arabe, dans le Centre des manuscrits de Tbilissi, qu'il est possible de restaurer.
Il y a quelques années, la bibliothèque de l'Ayatollah Mar’ashi Najafi de la ville de Qom, qui est la plus grande bibliothèque de manuscrits en Iran, a envoyé un représentant à Tbilissi, pour travailler sur ces manuscrits. Tout ce qui est dit sur l’ingérence de l’Iran dans notre pays est de la pure propagande ».
