
Selon Al Jazeera, son parcours a commencé il y a deux ans, au moment où Israël lançait sa guerre contre Gaza. Inspirée par les habitants de Gaza qui persistaient à apprendre le Coran malgré les souffrances, Shurouq a décidé d’en faire autant.
Durant ses longues séances de traitement à l’hôpital Al-Mutlaa, elle récitait et révisait les versets dans les couloirs, transformant les heures d’attente en moments de méditation et de prière.

Mère de trois enfants, elle a trouvé dans le Coran une source constante de force et de paix : « Rien ne calme le cœur comme la parole divine », dit-elle. « Le Coran a été mon remède et mon compagnon de route. »

Sa mère, Ikram Dawood, a fondu en larmes en apprenant que sa fille avait achevé la mémorisation complète : « C’est la plus belle récompense de ma vie », a-t-elle déclaré, émue et reconnaissante.