Ara Shawerdian, représentant des chrétiens arméniens de Téhéran et du nord de l'Iran au parlement iranien, dans une interview avec l’Agence iranienne de presse coranique (Iqna), sur les crimes commis par le régime sioniste contre la population de Gaza, le génocide palestinien et la destruction d'hôpitaux et de lieux religieux, y compris des églises, a déclaré : « Depuis 1948, ce régime illégal mène une politique de déplacement forcé des Palestiniens. Au cours de ces 70 années, les sionistes ont pris les terres palestiniennes par la force, et ont établi ce régime illégal dans la région.
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Au cours de ces décennies, le régime sioniste n'a jamais renoncé à sa politique d'occupation et d'expansionnisme, et dans les développements récents, dans le même esprit, n'a reculé devant aucun crime, et a montré au monde entier, sa nature inhumaine. Le régime sioniste a l'intention de créer la peur et la panique parmi la population de Gaza, pour forcer les Palestiniens à abandonner leur résistance ou à quitter leurs maisons, afin de pouvoir occuper davantage de terres ».
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Dans la crise du Haut-Karabakh et les tragédies humaines qui s'y sont produites, entre l'Arménie chrétienne et l'Azerbaïdjan musulman, tous les pays, y compris les gouvernements occidentaux, à l'exception de la République islamique d'Iran, sont restés silencieux mais la République islamique d'Iran a invité les parties à la paix et à des négociations basées sur une perspective humaine et les droits de l'homme. Aujourd'hui encore, selon le texte explicite de la Constitution et les principes religieux, la République islamique d'Iran met en garde les Occidentaux sur la perspective d'un désastre humanitaire à Gaza, et leur hypocrisie dans le domaine des droits de l'homme.
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Le Guide suprême de la révolution, le président, le ministre des Affaires étrangères et d'autres responsables, nationaux et militaires, ont également condamné l'oppression du peuple palestinien au cours de ces années, et surtout lors des événements récents.
Aujourd’hui, les gouvernements occidentaux sont confrontés à d’innombrables questions de la part de l’opinion publique mondiale, concernant leurs déclarations sur les droits de l’homme qui ne sont rien d’autre qu’un outil politique permettant aux Occidentaux de défendre leurs intérêts ».