L'Ayatollah A'rafi appelle les institutions religieuses à utiliser sans crainte l'intelligence artificielle
Lors de la conférence scientifique intitulée "Le rôle des sciences humaines islamiques numériques dans la recherche", qui s'est tenue à la Fondation internationale des sciences divines Isra, à Qom, le 18 décembre, l’ayatollah Alireza A'rafi a déclaré que la recherche était intrinsèquement précieuse. Il a déclaré : "L'excellence et la croissance de l'homme sont liées à la réflexion, la pensée, la méditation et la recherche, et elles sont essentielles à la croissance de l'homme. Bien sûr, la recherche se distingue grandement lorsqu'elle se situe dans le domaine des sciences islamiques et humaines."
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Il a ajouté : "La recherche et la réflexion dans le domaine des connaissances divines, islamiques et humaines sont distinctes, et leur distinction réside dans le fait que nous réfléchissons à un niveau où les résultats ont une relation directe avec le bonheur de l'homme, de la société, aujourd'hui et demain, et sont liés à la vie éternelle de l'homme. Le bonheur de l'homme est lié à cette question."
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Alireza A'rafi, en se référant à l'intelligence artificielle en tant qu'outil, a déclaré : L'intelligence artificielle améliore la précision et la vitesse des sciences religieuses dans ce domaine, et nous devons y entrer sans hésitation ni peur, car des actions sont en cours. De plus, l'intelligence artificielle est un compagnon et un collaborateur dans les sciences islamiques ; elle offre des méthodes et s'implique dans le contenu où il y a des préoccupations, mais les perspectives sont également claires.
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Il a ajouté : Les développements scientifiques évoluent de telle manière que les institutions religieuses doivent intelligemment entrer dans ce domaine, qui comporte des défis mais aussi un avenir prometteur. L'évolution de l'intelligence artificielle soulève diverses questions juridiques, éthiques et théologiques, et elle pose des problèmes importants pour lesquels nous devons adopter une position forte, car elle peut être à nos côtés ou créer des ambiguïtés contre nous, elle peut devenir un sujet de préoccupation.
A'rafi a poursuivi : Nous ne devons pas éviter l'intelligence artificielle et le numérique en raison de préoccupations marginales, mais plutôt y entrer de manière intelligente et scientifique. Les actions entreprises par cette institution sont des exemples de ce travail, et je félicite tous les chercheurs de ce centre. Nous considérons comme notre devoir de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour promouvoir ces questions et les faire avancer.
