Selon CNews, dans la nuit du 11 au 12 mai, plusieurs stickers portant des messages tels que « Zone interdite aux musulmans » et des symboles néonazis ont été découverts.
Le jeune homme, interpellé le 21 mai, a reconnu les faits lors de sa garde à vue. Lors de l'audience du 15 juin, il a évoqué un passé marqué par une hospitalisation psychiatrique et une tentative de suicide, précisant qu'il suivait actuellement une formation chez les Compagnons du devoir. Il s'est décrit comme un « patriote fier d'être Français ».
Des associations telles que SOS Racisme, la Licra et plusieurs autres se sont constituées parties civiles dans cette affaire.
La préfète du Loiret, Sophie Brocas, a exprimé sa « plus grande fermeté » face à ces messages incitant à la haine et à la discrimination. L'université d'Orléans, également touchée, a porté plainte et retiré les autocollants du campus.