Les particularités du commentaire coranique de l'Allameh Moqnia
Article(IQNA)- Il est impossible d'ignorer les efforts de l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, dans les réformes religieuses du monde de l'islam à la fin du XXème siècle.
Heidar Hobollah, chercheur et intellectuel libanais, dans son article intitulé «معالم المنهج التفسيری عند الشيخ محمد جواد مغنية» "Les particularités du commentaire coranique de l'Allameh Moqnia", qu'il a remis à l'Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que l'Allameh à la fin de sa vie, avait écrit deux commentaires coraniques, Al Kashef et Al Mobayen, qui s'appuyaient tous deux sur un raisonnement clair et réaliste.
"Il est impossible d'ignorer les efforts de l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, dans les réformes religieuses du monde de l'islam à la fin du XXème siècle. Il y a beaucoup de savants comme l'Allameh Tabataba'i, le martyr Motahhari, l'Ayatollah Mohamad Bagher Sadr, Mohsen Al Amin, l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, l'Ayatollah Mohamad Reza Mozafar, l'Ayatollah cheikh Mohamad Hossein Kashef-ol-Ghata', qui ont brillé au cours de ce siècle mais qui pour des raisons politiques, comme l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, n'ont pas été assez présentés.
Dans son œuvre que constituent presque soixante ouvrages, l'Allameh Moqnia a étudié les différents mouvements religieux, les valeurs et les croyances dans un cadre de réflexion scientifique et logique. A la fin de sa vie, il a rédigé un commentaire très simple intitulé Al Mobayen, qui s'appuyait sur ses études dans le domaine idéologique et social.
L'existence d'un lien entre la philosophie, la pensée sociale et les recherches scientifiques, a été une de ses bases de recherche dans son commentaire, spécialement dans le commentaire "Al Rahman".
Le réalisme et le raisonnement logique, les méthodes claires de commentaire et de dialogue, et le courage intellectuel sont les particularités importantes des commentaires de l'Allameh Mohamad Djavad Moqnia, reconnues par tous les religieux.
Il a utilisé la même méthode dans ses travaux et ses cours de jurisprudence, alors que les cours de jurisprudence à l'époque se limitaient à une traduction ou une explication littérale du texte. Il s'attachait à présenter des démonstrations logiques dans une méthode qu'il avait nommée «موضوعات مستنبطه» .
L'Allameh Moqnia grâce à la présentation logique et simple de ses travaux, a réussi à attirer beaucoup de lecteurs, spécialement les jeunes. Ses livres sur l'imam Khomeiny et le gouvernement islamique, la jurisprudence de l'Imam Dja'far Sadegh (AS), la jurisprudence moderne et la philosophie islamique ont eu un grand succès auprès de la jeunesse.
Il y fait non seulement une critique des idées matérialistes et occidentales, mais aussi une critique des idées de certains religieux de son époque et de certaines traditions religieuses dépassées.
Dans son livre sur la situation à Djabal Amel, écrit en 1947, il donne une présentation exacte de la situation de cette région du Liban" a écrit Heidar Hobollah qui est originaire de Sur au Liban, et l'élève des Ayatollahs Mohamad Taghi Faghieh, Mofid Faghieh, Seyed Mahmoud Hashemi Shahrudi, Vahid Khorasani, Djavadi Amoli, Hossein Nejati et Bagher Irvani.
Devenu membre en 1990, de l'encyclopédie de jurisprudence islamique, il travaille pendant quatre ans dans cet institut, et devient en 2002 rédacteur en chef du journal«المنهاج» publié à Beyrouth, et rédacteur en chef de la revue de jurisprudence chiite» «فقه أهل البيت.
Il travaille aussi au journal «ميقات الحج» spécialisé dans les questions du Pèlerinage, et à la revue «أصداء». En 2006, il devient directeur de la revue «نصوص معاصرة» spécialisée dans la traduction des recherches islamiques iraniennes et dirigée par L'Ayatollah Abdol Hadi Fazli. En 2008, il publie la revue «الاجتهاد والتجديد» spécialisée dans les questions d'ijtihad contemporain et a aussi traduit un livre du persan en arabe, sur l'intellectualisme religieux.
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"Il est impossible d'ignorer les efforts de l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, dans les réformes religieuses du monde de l'islam à la fin du XXème siècle. Il y a beaucoup de savants comme l'Allameh Tabataba'i, le martyr Motahhari, l'Ayatollah Mohamad Bagher Sadr, Mohsen Al Amin, l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, l'Ayatollah Mohamad Reza Mozafar, l'Ayatollah cheikh Mohamad Hossein Kashef-ol-Ghata', qui ont brillé au cours de ce siècle mais qui pour des raisons politiques, comme l'Allameh Cheikh Mohamad Djavad Moqnia, n'ont pas été assez présentés.
Dans son œuvre que constituent presque soixante ouvrages, l'Allameh Moqnia a étudié les différents mouvements religieux, les valeurs et les croyances dans un cadre de réflexion scientifique et logique. A la fin de sa vie, il a rédigé un commentaire très simple intitulé Al Mobayen, qui s'appuyait sur ses études dans le domaine idéologique et social.
L'existence d'un lien entre la philosophie, la pensée sociale et les recherches scientifiques, a été une de ses bases de recherche dans son commentaire, spécialement dans le commentaire "Al Rahman".
Le réalisme et le raisonnement logique, les méthodes claires de commentaire et de dialogue, et le courage intellectuel sont les particularités importantes des commentaires de l'Allameh Mohamad Djavad Moqnia, reconnues par tous les religieux.
Il a utilisé la même méthode dans ses travaux et ses cours de jurisprudence, alors que les cours de jurisprudence à l'époque se limitaient à une traduction ou une explication littérale du texte. Il s'attachait à présenter des démonstrations logiques dans une méthode qu'il avait nommée «موضوعات مستنبطه» .
L'Allameh Moqnia grâce à la présentation logique et simple de ses travaux, a réussi à attirer beaucoup de lecteurs, spécialement les jeunes. Ses livres sur l'imam Khomeiny et le gouvernement islamique, la jurisprudence de l'Imam Dja'far Sadegh (AS), la jurisprudence moderne et la philosophie islamique ont eu un grand succès auprès de la jeunesse.
Il y fait non seulement une critique des idées matérialistes et occidentales, mais aussi une critique des idées de certains religieux de son époque et de certaines traditions religieuses dépassées.
Dans son livre sur la situation à Djabal Amel, écrit en 1947, il donne une présentation exacte de la situation de cette région du Liban" a écrit Heidar Hobollah qui est originaire de Sur au Liban, et l'élève des Ayatollahs Mohamad Taghi Faghieh, Mofid Faghieh, Seyed Mahmoud Hashemi Shahrudi, Vahid Khorasani, Djavadi Amoli, Hossein Nejati et Bagher Irvani.
Devenu membre en 1990, de l'encyclopédie de jurisprudence islamique, il travaille pendant quatre ans dans cet institut, et devient en 2002 rédacteur en chef du journal«المنهاج» publié à Beyrouth, et rédacteur en chef de la revue de jurisprudence chiite» «فقه أهل البيت.
Il travaille aussi au journal «ميقات الحج» spécialisé dans les questions du Pèlerinage, et à la revue «أصداء». En 2006, il devient directeur de la revue «نصوص معاصرة» spécialisée dans la traduction des recherches islamiques iraniennes et dirigée par L'Ayatollah Abdol Hadi Fazli. En 2008, il publie la revue «الاجتهاد والتجديد» spécialisée dans les questions d'ijtihad contemporain et a aussi traduit un livre du persan en arabe, sur l'intellectualisme religieux.
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