S’appuyant sur une enquête du New York Times, Golan affirme que le Premier ministre israélien et ses alliés de l’extrême droite, notamment Bezalel Smotrich et Itamar Ben-Gvir, entraînent le régime vers sa perte.
Sur la plateforme X, Golan a dénoncé leur sabotage des négociations sur l’échange de prisonniers, accusant ces responsables de faire passer leurs intérêts politiques avant la vie des soldats et des otages.
Il les a qualifiés de « minorité extrémiste » et les a rendus responsables de la poursuite de la guerre et du blocage des accords.
Selon le rapport cité, Netanyahu aurait délibérément prolongé le conflit pour redorer son image et rester au pouvoir, allant jusqu’à rejeter un accord qui aurait permis la libération de 30 prisonniers israéliens, craignant que Smotrich ne fasse tomber son gouvernement.
De son côté, le bureau du Premier ministre a démenti ces accusations via The Times of Israel, affirmant qu’il s’agissait d’une tentative de nuire à la réputation du gouvernement et de l’armée israélienne.
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