Selon Al-Alam, les rues de Genève ont été le théâtre de manifestations rassemblant des milliers de personnes, toutes déterminées à mettre fin aux massacres perpétrés par les sionistes à l'encontre du peuple de la bande de Gaza. Les protestataires ont exprimé leur solidarité avec Gaza et la Palestine en agitant des drapeaux palestiniens, des keffiehs et des banderoles, et en scandant des slogans.
Les organisateurs de ces manifestations ont qualifié les actions du régime d'occupation et de ses partisans à l'encontre des Palestiniens de "deuxième Nakba" (catastrophe) et les ont considérées comme étant encore pires que la Nakba de 1948, selon un cadre de référence.
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L'un des manifestants a déclaré à ce sujet : "Un cessez-le-feu immédiat doit être instauré. Chaque jour, nous sommes témoins, à travers les images, de l'assassinat d'hommes, de femmes et d'enfants par Israël. Ce qui se produit là-bas n'est pas une guerre, mais un génocide."
Un autre manifestant a ajouté : "Depuis mon enfance, j'entends parler de l'occupation de la Palestine. Cette occupation doit prendre fin, mais il est scandaleux que nos gouvernements soutiennent ce régime criminel."
Les manifestants ont appelé les gouvernements européens, notamment la Suisse, à mettre un terme à leur coopération militaire avec le régime sioniste.
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Un autre manifestant a déclaré : "Demander à Israël d'arrêter ses crimes relève de l'illusion, car ce régime est un régime d'apartheid. Toutefois, nous devons exercer une pression sur notre pays, la Suisse, afin de mettre fin à la coopération militaire et financière avec Israël."
Parallèlement aux mouvements populaires, certaines organisations actives et campagnes de boycott d'Israël en Suisse poursuivent leurs efforts de sensibilisation pour encourager le boycott des produits des entreprises soutenant le régime sioniste.