Selon un communiqué officiel, cet accord prévoit également le retrait total des forces israéliennes, l’acheminement de l’aide humanitaire, ainsi que la création immédiate d’un comité technique pour la gestion de la bande de Gaza dès la signature de l’accord.
Hamas souligne qu’il déploie des efforts continus pour mettre fin à ce qu’il qualifie de guerre brutale contre Gaza.
L’accord inclut aussi un échange : la libération de dix prisonniers israéliens et la restitution des corps de plusieurs détenus morts en captivité, en échange d’un nombre défini de prisonniers palestiniens, selon des modalités garanties par les médiateurs.
Alors que ce cadre attend encore une réponse officielle, les protestations contre la politique de Benyamin Netanyahou se poursuivent en Israël, reflétant une contestation croissante face à la gestion de la guerre et à l’absence d’issue politique claire.