La politique de deux poids deux mesures de l'Emir du Qatar
Article(IQNA)- Le Qatar grâce à ses ressources gazières et une faible population, jouit d'un relatif bien-être économique dans un contexte mondial de crise.
Ce régime qui jouit du soutien des pays occidentaux, dans le contexte d'éveil islamique, est présenté comme un pays influent dans la région mais en fait, assure les intérêts du régime sioniste.
Hamd ben Khalifa Al sani, émir du Qatar, dans un discours à Doha a manifesté "son inquiétude" sur l'avenir du régime sioniste face à la montée des mouvements populaires dans la région.
S'adressant au régime sioniste, il lui a conseillé de changer de politique et d'améliorer ses relations avec les pays de la région.
Ces déclarations interviennent après que certains commentateurs politiques aient évoqué un paradoxe dans la politique des dirigeants qataris avec d'un coté, les inquiétudes de la monarchie sur l'avenir du régime sioniste et d'un autre coté, ses déclarations sur les territoires et la patrie des Palestiniens.
Le dirigeant qatari a aussi respecté le plus grand silence face à la répression des manifestants au Yémen et au Bahreïn, et a par contre, violemment critiqué le Président anti sioniste de Syrie et aidé financièrement et politiquement les rebelles syriens.
Ces derniers jours, un message du ministère qatari des affaires étrangères, annonçait que le voyage de l'émir du Qatar au Liban était annulé alors que le Premier ministre libanais, Najib Mikati, avait assuré à plusieurs reprises, que la situation à tripoli était tout à fait calme et sous le contrôle du gouvernement libanais.
Tout cela montre que le Qatar au lieu de se soucier de la situation des musulmans dans la région, cherche à se faire une image de marque en appliquant la politique des pays occidentaux et en soutenant le régime sioniste car les gouvernement syriens et libanais, plus que le Qatar, ont défendu les droits du peuple de Palestine et réclamé le retour aux frontières de 1967.
Ce soutien au régime sioniste qui traverse la pire époque de sa triste Histoire, montre que l'émir du Qatar est en fait, plus une marionnette aux mains des pays occidentaux qu'un activiste pacifique.
Netanyahou ces deux dernières semaines, a eu beaucoup de mal pour éviter la dissolution de son gouvernement et l'affaiblissement du vice premier ministre, Shaoul Mofaz, son représentant au Parlement.
L'Occident qui est confronté à des questions plus importantes que celle du régime sioniste, comme la crise économique, les divergences entre les membres de l'UE et la politique américaine pour le renforcement de l'Otan qui signifie une augmentation des frais de l'Europe, a actuellement d'autres chats à fouetter", a-t-il déclaré.
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Hamd ben Khalifa Al sani, émir du Qatar, dans un discours à Doha a manifesté "son inquiétude" sur l'avenir du régime sioniste face à la montée des mouvements populaires dans la région.
S'adressant au régime sioniste, il lui a conseillé de changer de politique et d'améliorer ses relations avec les pays de la région.
Ces déclarations interviennent après que certains commentateurs politiques aient évoqué un paradoxe dans la politique des dirigeants qataris avec d'un coté, les inquiétudes de la monarchie sur l'avenir du régime sioniste et d'un autre coté, ses déclarations sur les territoires et la patrie des Palestiniens.
Le dirigeant qatari a aussi respecté le plus grand silence face à la répression des manifestants au Yémen et au Bahreïn, et a par contre, violemment critiqué le Président anti sioniste de Syrie et aidé financièrement et politiquement les rebelles syriens.
Ces derniers jours, un message du ministère qatari des affaires étrangères, annonçait que le voyage de l'émir du Qatar au Liban était annulé alors que le Premier ministre libanais, Najib Mikati, avait assuré à plusieurs reprises, que la situation à tripoli était tout à fait calme et sous le contrôle du gouvernement libanais.
Tout cela montre que le Qatar au lieu de se soucier de la situation des musulmans dans la région, cherche à se faire une image de marque en appliquant la politique des pays occidentaux et en soutenant le régime sioniste car les gouvernement syriens et libanais, plus que le Qatar, ont défendu les droits du peuple de Palestine et réclamé le retour aux frontières de 1967.
Ce soutien au régime sioniste qui traverse la pire époque de sa triste Histoire, montre que l'émir du Qatar est en fait, plus une marionnette aux mains des pays occidentaux qu'un activiste pacifique.
Netanyahou ces deux dernières semaines, a eu beaucoup de mal pour éviter la dissolution de son gouvernement et l'affaiblissement du vice premier ministre, Shaoul Mofaz, son représentant au Parlement.
L'Occident qui est confronté à des questions plus importantes que celle du régime sioniste, comme la crise économique, les divergences entre les membres de l'UE et la politique américaine pour le renforcement de l'Otan qui signifie une augmentation des frais de l'Europe, a actuellement d'autres chats à fouetter", a-t-il déclaré.
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